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Identifiant de l'auteur349
NomPetel, Olinde
Dates1836-1897
Date de naissancemardi 14 juin 1836
Date de mortlundi 19 avril 1897
Type d'auteur|Correspondant|
BiographiePierre Auguste Olinde Petel (Châteauroux, 14 juin 1836-19 avril 1897), fils d'Auguste Jean-Baptiste Petel, médecin à Châteauroux et d'Emelanie-Caroline Brillaut, envoya, en décembre 1854, au Mousquetaire une traduction des Eglogues de Virgile, sans donner son adresse; le 11, il réclama son "cahier de sottises en vers", mais Dumas publia sa traduction (Le Mousquetaire, 15 décembre). D'après Biographies berrichonnes, il serait devenu un des secrétaires de Dumas, avant de devenir son gendre en épousant Marie Dumas. Le 4 mai 1856, le contrat de mariage fut signé devant Me Emile Fould; le mariage civil fut célébré le 5 mai, le mariage religieux le lendemain à Saint-Philippe-du-Roule, Marie et Olinde partant aussitôt pour l'Italie. En 1858, Olinde publia chez Michel Lévy Les Idéales (cf. Le Monte-Cristo, n°3, 6 mai 1857). Cependant la santé mentale d'Olinde s'altérait: selon Marie, il multipliait les scènes de violence: après le retour d'un voyage en Espagne, en avril 1860, à Saint-Charbier, en août 1860, à Jérusalem, le jour des Rameaux 1861, au cours d'un voyage en Orient (Constantinople, Athènes, Marathon, Corinthe, Scutari, Saint-Jean-le-Désert). Marie se réfugia au couvent des Dames de l'Assomption à Auteuil et engagea une procédure de séparation qui vint devant le tribunal civil de Châteauroux le 15 mai 1867; déboutée, elle introduisit un appel exploit le 27 juin 1863. Par arrêt du 6 janvier 1864, la Cour royale de Bourges l'autorisa à prouver les faits et ordonna des enquêtes à Bourges, Vannes et Jérusalem. Après trois audiences, les 21, 22 et 23 novembre 1864, Marie, qui avait pour défenseur Me de Sèze tandis qu'Olinde était défendu par Me Battard), fut de nouveau déboutée le 28 novembre. En 1865, Olinde publia Poésies chez Vve Mignet. D'après Biographies berrichonnes, Olinde, "noctambule et nudiste" serait tombé dans les "amours ancillaires", instituant comme héritières, Eulalie Lavandon, fille mineure de sa servante.
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Nombre d'article(s) : 1

  1. A Monsieur Alexandre Dumas
    [Monsieur, J'ai eu l'audace, audace bien folle, j'en conviens...]
    dans Le Mousquetaire 1854-12-15 n°384
    Mots-clefs : correspondance; demande
    Lire l'article en ligne: p.2
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